Gladys Liez,Dinandier travail du métal
Gladys Liez aime la relation avec la matière et le feu
Gladys Liez découvre la dinanderie
auprès de Frédéric Barnley, élève de Serge Mouille.
Gladys Liez réédite et façonne aujourd’hui les luminaires
du célèbre designer français.
Gladys Liez met également son savoir-faire au service
de la maison Chéret, spécialisée dans l’art liturgique.
Parallèlement, Gladys Liez développe ses propres
créations, fragiles et dentelées.
Armée de son marteau ou de son maillet de buis,
Gladys Liez se spécialise dans la technique de la rétreinte
qui consiste au passage de la feuille horizontale à la verticale pour la refermer vers l’intérieur.
Par la suite, Gladys Liez imprime sur la surface des pièces une texture.
La dentelle de métal est obtenue par son immersion dans un bain d’eau-forte
après l’application d’un vernis à graver sur les parties de la sculpture à protéger.
Le décor déchiqueté de « Lichen » suggère une érosion naturelle.
Avec « Pavot », Gladys Liez conçoit des formes pleines, d’inspirations végétales. « Nervures »,
en deux parties offre un bord tombé sur la partie intérieure.
Il est ensuite gravé à l’eau-forte et assemblé à l’argent.
Gladys Liez aime la relation avec la matière et le feu.
La transformation d'une feuille de métal la fascine.
Il faut une grande énergie et beaucoup de patience pour
faire de cette feuille une oeuvre aboutie, légère, épurée.
Un relation s'installe entre eux, c'est l'apaisement.
Faussement usées, rongées, ses créations marient la
grace des vestiges archéologiques au design le plus moderniste.
La nature est sa source d'inspiration.
auprès de Frédéric Barnley, élève de Serge Mouille.
Gladys Liez réédite et façonne aujourd’hui les luminaires
du célèbre designer français.
Gladys Liez met également son savoir-faire au service
de la maison Chéret, spécialisée dans l’art liturgique.
Parallèlement, Gladys Liez développe ses propres
créations, fragiles et dentelées.
Armée de son marteau ou de son maillet de buis,
Gladys Liez se spécialise dans la technique de la rétreinte
qui consiste au passage de la feuille horizontale à la verticale pour la refermer vers l’intérieur.
Par la suite, Gladys Liez imprime sur la surface des pièces une texture.
La dentelle de métal est obtenue par son immersion dans un bain d’eau-forte
après l’application d’un vernis à graver sur les parties de la sculpture à protéger.
Le décor déchiqueté de « Lichen » suggère une érosion naturelle.
Avec « Pavot », Gladys Liez conçoit des formes pleines, d’inspirations végétales. « Nervures »,
en deux parties offre un bord tombé sur la partie intérieure.
Il est ensuite gravé à l’eau-forte et assemblé à l’argent.
Gladys Liez aime la relation avec la matière et le feu.
La transformation d'une feuille de métal la fascine.
Il faut une grande énergie et beaucoup de patience pour
faire de cette feuille une oeuvre aboutie, légère, épurée.
Un relation s'installe entre eux, c'est l'apaisement.
Faussement usées, rongées, ses créations marient la
grace des vestiges archéologiques au design le plus moderniste.
La nature est sa source d'inspiration.
Texte de prix de l'itelligence de la main et de Gladys Liez
Vidéo Du prix intelligence de la main